Ces ateliers m’ont permis de trouver une autre façon d’enseigner.

Cette pratique permet d’être plus attentif à chaque élève. On les suit mieux et en conséquence on les aide mieux. On est dans un enseignement plus suivi, plus individualisé.

Etant directrice de l’école, les remplaçants qui prennent ma classe de CP lorsque je suis occupée utilisent avec facilité cette méthode qui est très facile à mettre en place !

J’ai vu des enfants réellement s’amuser à répéter la syllabe qui ne doit pas être cachée dans l’activité de suppression syllabique, et pas seulement ceux à l ‘aise avec le code.

J’ai vu la petite étincelle dans les yeux des enfants quand ils avaient compris comment repérer la syllabe dans un mot.

C’est en cohérence avec ce qu’ils font à l’école. C’est parfaitement judicieux et adapté. Les enfants ont le droit de se tromper, comme ça ils peuvent avancer en étant serein.

On apprend des mots et avec les lettres on devait retrouver la syllabe. J’aime bien quand il faut éclater les ballons et trouver la fiole.

La démarche syllabique de Graphonémo est tout-à-fait adaptée aux élèves. Maintenant, les élèves comme moi, nous avons une démarche beaucoup plus syllabique pour la production de sons. Les résultats sont bien meilleurs en ce qui concerne l’encodage et la production de l’écrit.

C’est plus dur quand il faut éclater les ballons et trouver les syllabes. Moi je préfère quand on doit trouver la fiole.

Moi, j’ai trouvé ça bien Graphonémo, parce que j’ai eu l’impression de jouer.

Ce qui est intéressant avec Graphonémo, c’est qu’il permet de découvrir un outil comme la tablette. C’est fait de façon intelligente et avec de l’apprentissage. Il répond à deux besoins : à la fois le jeu et l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.

C’est comme un cahier de vacances, mais sur une tablette.